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étaient payés un prix fou. Une seule chose, de nos jours, peut donner l’idée du tarif de la rue Quincampoix , c’est le tarif de San-Francisco, la ville du golden-fever , où les malades de cette fièvre d’or payaient, dit-on, deux dollars pour faire cirer leurs bottes. La rue Quincampoix
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rafle soit faite. Ils se dispersèrent aussitôt. La moitié environ sortit par la cour et la rue Saint-Magloire, pour se rendre rue Quincampoix par le grand tour. Les autres allèrent seuls ou par petits groupes, causant çà et là bonnement des affaires du temps. Au bout d’un quart
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impitoyable dans l’affaire du comte de Hornes… — Il s’agissait du crédit de la banque… la rue Quincampoix réclamait un exemple… — Ici nous avons également de hauts intérêts en jeu… la veuve de Nevers… — Sans doute… mais Gonzague est l’ami du régent depuis
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taux du roi peut n'avoir pas la conscience bien délicate. Il paraît qu'elle a demeuré dans la rue Quincampoix à peu près vers le temps du système, et cette rue n'était pas l'école de la probité. Cette femme, qui confirme par son testament la vente de son procès pouri cent quinze
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à Paris le sieur Du Jonquay, avec lequel il a mangé plusieurs fois ; qu’il logeait dans la rue Saint-Jacques avec sa grand’mère, la veuve Véron, laquelle prêtait de petites sommes sur gages, à deux sous par mois par vingt sous. Que la veuve Durant, courtière, proposa plusieurs
Le Département des estampes à la Bibliothèque nationale/01


Un résumé de l’histoire du département des estampes semblera d’ailleurs d’autant moins superflu que, sauf quelques notices très succinctes, aucun travail sur ce sujet n’a été publié encore. Lors donc que certains détails, certains rapprochemens nécessaires de dates ou de chiffres
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Jusque-là tout allait au mieux, mais l’on avait compté sans les suites. Les réclamations de plusieurs intéressés contre l’envahissement un peu brusque, il est vrai, de leur demeure, le mécontentement des gens de loi, qui, n’ayant pas participé à l’affaire, ne se faisaient pas
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huit livres ; si vous les avez, je vous prie de les renvoyer à M. Pasquier, agent de change, rue Quincampoix , à Paris. Cet argent ne m’appartient pas ; il est à une personne à qui je le devais, qui en a un très-grand besoin, et qui s’en dessaisissait en ma faveur, s’imaginant
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éclaircissement de mon innocence ; l’affaire est simple. C’est Josse, François Josse, libraire, rue Saint-Jacques, à la fleur-de-lys , le seul qui n’ait point été mis en cause, le seul impuni, qui imprima le livre, qui le débita par la plus punissable de toutes les perfidies
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Dans la première journée, l’auteur passe en revue différentes classes de la bourgeoisie parisienne : les officiers de justice, tels qu’avocats, procureurs, notaires au Châtelet ; les officiers municipaux, tels que le prévôt des marchands, les échevins et autres ; les partisans