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La maison de Rohan est une des plus illustres de la Bretagne. Un généalogiste en fait remonter l’origine à Ruhan ou Rohan, fils puîné de Conan Mériadec, premier roi de Bretagne, et d’Ursule, fille d’un roi d’Angleterre, environ vers l’an 400, quelque peu avant la naissance de

Les fragments de saint Julien enfin présentent un troisième type d’écriture : c’est une onciale massive ; au lieu d’être allongées et inclinées, les lettres pourraient en général s’inscrire dans un carré ; les lignes, au nombre de vingt-deux ↑ On remarque dans la premièr

abord un palimpseste. Un examen plus attentif me fait découvrir en marge une écriture en semi onciale gothique, pâlie, très lisible encore. O surprise ! C’est du français le plus pur. Les caractères, — ainsi, hélas ! qu’il en fut trop souvent au moyen âge, — ont été chimiquement

douzièmene doit presque être différenciéeque par r’opposition de la même traverse tournée vers la droite. Si la treizième sous-férie ressembleà la onzième par la barre ou traverse supérieure menée seulementvers la gauche , elle diffère en ce que la voûte del’A estplutôt angulaireque

en trois espèces en trois classes en trois genres en trois espèces Majuscule Capitale Onciale Capitale Onciale Majuscule Majuscule Majuscule Minuscule Minuscule Minuscule proprem t dite Minuscule diplomatique Minuscule Minuscule Minuscule proprem t dite Minuscule

uncia ), car l’once était la douzième partie de leur pied ; de là le nom d’ écriture onciale imposé à cette sorte de majuscules qui n’a pourtant pas toujours, à beaucoup près, une once de haut. Comme c’était particulièrement le tracé des lignes droites, la régularit

Les modifications graduelles que l’écriture subit dans les derniers siècles de la première époque, en s’accumulant pour ainsi parler, aboutirent à un style graphique véritablement nouveau, l’écriture qu’on a fort improprement appelée gothique , que Catégorie  : Page corrigé

lettres, qui dans les actes publics tout à la fin du XVe siècle reviennent un peu aux formes de l’ onciale , se rapprochent sous Louis XII des caractères dits romains, dont les presses de Venise avaient donné de parfaits modèles. Mais ce n’est pas seulement l’invention de Gutenberg