Au bonheur des dames/5


Le lendemain, Denise était descendue au rayon depuis une demi-heure à peine, lorsque madame Aurélie lui dit de sa voix brève. — Mademoiselle, on vous demande à la direction. La jeune fille trouva Mouret seul, assis dans le grand cabinet tendu de reps vert. Il venait de se rappeler
L’Homme des champs/Chant I


Ce sont les vrais plaisirs, les vrais biens que je chante. Mais peu savent goûter leur volupté touchante : Pour les bien savourer, c’est trop peu que des sens ; Il faut une ame pure et des goûts innocens. Toutefois n’allons pas, déclamateurs stériles, Affliger de conseils tristement
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Voyez la science du calcul du pere Reyneau, & les leçons de mathématiques de M. Privat de Molieres . ( E ) A l’occasion des nombres premiers , nous insérerons, à la fin de ce volume, une table qui nous paroît assez bien entendue, & qui est tirée d’un livre anglois d’algebre
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Ptolomée en font mention sous le même nom qu’elle porte aujourd’hui ; ils la nomment Tarasco . Molieres (Joseph Privat de) physicien cartésien, y naquit en 1677 ; il devint professeur au college royal en 1723, membre de l’académie des Sciences en 1729, & mourut à Paris en 1742
Discours de l’inondation arrivée au fauxbourg S.-Marcel-lez-Paris


trois ruisseaux de Bièvre, Vouharlant et Rungis, joincts ensemble au lieu appelé la Mer-Morte, Molières et Croulières de Lay et Chevilly, ne se trouve non plus d’eau tous ensemble qu’en chacun d’eux separement ; auquel lieu aussi se trouve des terres propres à brusler, appelles
Toute la lyre/La corde d’airain


Et j'ajoute à ma lyre une corde d'airain. Les Feuilles d'Automne. À LA FRANCE DE 1872 [ modifier ] Ô France, un ,de tes fils devant toi s'agenouille. L'humble prêtre de l'art divin que rien ne souille T'apporte sa tristesse et son austère amour. Quand toutes les grandeurs d
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comédie ne l’est plus. J’ai lu le quatrième tome des Leçons de Physique de Joseph Privât de Molières , de l’Académie des sciences : cela est encore assez comique ; mais j’aime mieux l’autre Molière que celui-ci. Joseph Privât ne peut réjouir que quelques philosophes malins
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leurs plates rapsodies, croient avoir fait de la comédie philosophique, et s’intitulent les Molières de l’Italie, comme si en pareille matière un but moral remplaçait jamais la verve et la gaieté. La haute comédie n’existe plus en Italie, et n’y a peut-être jamais existé que