Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations/Livre 1/9


La hausse et la baisse dans les profits du capital dépendent des mêmes causes que la hausse et la baisse dans les salaires du travail, c’est-à-dire de l’état croissant ou décroissant de la richesse nationale ; mais ces causes agissent d’une manière très-différente sur les
Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations/Livre 3/4


Premièrement, en fournissant un marché vaste et rapproché pour le produit brut du pays, elles ont encouragé sa culture et ont engagé à faire de nouvelles améliorations. Cet avantage ne se borna pas même aux campagnes où la ville était située, mais il s’étendit plus ou moins
Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations/Livre 5/3


La même disposition à épargner et à thésauriser avait gagné le souverain aussi bien que les sujets, comme on l’a observé dans le IV e livre . Chez des nations qui ne connaissent guère le commerce ni les manufactures, le souverain est dans une situation qui le dispose naturellement
Traité d’économie politique/1841/Livre 1/Chapitre 26


quantité fixe d’argent, celle qu’on connaissait au moment de la date sous la dénomination d’une livre . Les seconds, ne stipulant que des livres , admettaient toutes les variations qu’il plairait au pouvoir arbitraire d’introduire dans la forme et la matière de ce qu’il appellerait
Traité d’économie politique/1841/Livre 3/Chapitre 10


L’impôt se compose, ainsi qu’on l’a vu, de produits, ou plutôt de la valeur produite [1] dont le gouvernement exige le sacrifice. Mais quels effets résultent de la nature des produits qui sont taxés, de la manière dont on en répartit le fardeau, et sur qui retombe la perte (qui
Traité d’économie politique/1841/Livre 3/Chapitre 11


Il y a cette grande différence entre les particuliers qui empruntent et les gouvernemens qui empruntent, que le plus souvent les premiers cherchent à se procurer des fonds pour les faire valoir, pour les employer d’une manière productive ; tandis que les seconds n’empruntent ordinairement
Abrégé de l’histoire générale des voyages/Tome I/Première partie/Livre II/Chapitre I


Cependant plusieurs voyageurs, entre autres, Villault de Bellefond et Labat, prouvent, par les monumens qui subsistent encore en Afrique, que dès le milieu du quatorzième siècle, c’est-à-dire, plus de cent ans avant les premières découvertes des Portugais, des marchands français de
Abrégé de l’histoire générale des voyages/Tome III/Première partie/Livre V/Chapitre III


L’Europe n’a que trois établissemens sur cette côte. Le premier, qui se nomme Kila , est un comptoir anglais de la Compagnie royale d’Afrique, éloigné de quinze lieues à l’est de Lay ou d’Alampo, sur la côte d’Or. Le second se nomme Fida ou Juida ; les Anglais, les Français
Abrégé de l’histoire générale des voyages/Tome III/Première partie/Livre VI/Chapitre I


Europe à cause de leur aboiement, que l’Anglais Battel leur en vit acheter un trente livres sterling (720 fr.). Le territoire de Setté est situé à cinquante-cinq milles au nord de la rivière de Mayomba, et s’étend jusqu’à Gobbi. Ce pays, qui est arrosé par une rivière du
Histoire du Canada (Garneau)/Tome I/Livre I/Chapitre III


Les persécutions politiques et religieuses et la conquête étrangère déterminent les émigrations : exemple, les Irlandais et les Écossais. — Les Huguenots formellement exclus de la N.-France. — Grandes espérances que donne en France la compagnie des cent associés — Elle envoie