Œuvres complètes de Joachim Du Bellay, tome 3/Texte entier


Avec un commentaire historique et critique PAR LÉON SÉCHÉ PARIS REVUE DE LA RENAISSANCE 1910 AVERTISSEMENT C’est la première fois que l’on réunit, dans l'ordre chronologique où elles furent écrites, les trois œuvres maîtresses que Joachim du Bellay composa durant
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éloigner. Je ne demande rien, monsieur ! fi donc ! C’est bien ! Entrent M. de Pienne et M. de Gordes , qui s’arrêtent en observation au fond du théâtre. L’homme , le saluant. Monsieur me juge mal. Je suis homme d’épée. Triboulet , reculant. À part. Est-ce un
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entiers. M. ne eennns. S’il l’allait renvoyer à son mari? 'rimsoutur. Fespère Que non. M. DE GORDES . Elle a paye la grâce de son père. Partant, quitte. raisonner. A propos du sieur de Saint-Vallier, Quelle idee avaibil, ee vieillard singulier, De mettre dans un lit nuptiel sa Diane
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FRANCOIS PREMIER. TRIBOULET. BLANCHE. M. DE SAINT-VALLIER. SALTABADIL. MAGUELONNE. CLÉMENT MAROT. M. DE PIENNE. M. DE GORDES . M. DE PARDAILLAN. M. DE BRION. M. DE MONTCHENU. M. DE MONTMORENCY. M. DE COSSÉ. M. DE LA TOUR-LANDRY. MADAME DE COSSÉ. DAME BÉRARDE. UN GENTILHOMME
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DES CHAPITRES DU PREMIER VOLUME. INTRODUCTION, par M. Sainte-Beure Page III Lettre écrite par Saint-Simon à M. de Rancé, abbé de la Trappe, en le consultant sur ses Mémoires XXV INTRODUCTION DE l’EUTEUR XXVII Chapitre Ier. — 1691. — Où et comment ces Mémoires commencés. —
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fragilité. D,UI1€ intrigue damour puisse être en sûreté. scene 11. _ LE ROI, TBIBOULET, M. DE GORDES , PLUSIEURS SEIGNEUBS. Les seigneurs, superbement vêtus. Triboulet, dans son costume de fou, comme 1’a peint Boniface. • Le rox regarde passer un groupe de femmes. ' M. DE LA '1
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TOUIPLANDRY, mystérieusement. Votre femme est bien belle! M de Cossé se rebuïe, et sa à M. de Gordes , qui paraît avoir quelque chose à lux confier. M. DE GORDES , bas. Qu’est·oe donc qui vous trotte ainsi par le cervelle? Pourquoi regerdozwous si souvent de côte? M. de Gosse le quitte
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évêque- comte de Châlons. — Régularisation de la Trappe. — Évêque-duc de Langres. — Gordes . — Sa mort. — Abbé de Tonnerre, évêque-duc de Langres. — Sa modestie. — M. le maréchal de Lorges ne sert plus. — Forte plcoterie des princesses. . . 4 75 Chapitre XVIII .
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notaire àAlençon, au temps de Louis XVIII ; né en 1753. — Ancien intendant de la maison de Gordes , ainsi que de la famille dEsgrignon, dont il avait sauvé les biens sous la Révolu- tion, veuf, sans enfants, possédant une fortune considérable, il avait la clientèle de l’aristocratie
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traitait de « largue et de voleuse » remàTC[naih\e {La Dernière Incarnation de Vautrin). Gordes (Mademoiselle de), à la tête d’un salon aristocratique d’Âlençon, vers 1816, époque où vivait encore son père, le vieux marquis de Gordes , qui habitait avec elle^ — recevait