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lierezvô-g-el (KM vacô râzayàn : pun buland rasishnlh gavishn ai ârâst. — avaiiislila, lill . « je nie tiens sous », c’esl-ù-dire« je suis sous le coup de ce coutact ». — anacsboni iiiano, al,/ivàsl/ir havà-am punm’inishn ., a’ig/tam pun islitht là Invàn...,
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jU. Ijjl M ^ji^ jj jj. a,) XS yjijj : °j° dr-’ - -r- a a * _^j^-jy 0’ 56. asadayat ; lill . madammûnist, « semble, a l’air de » : cf. Yt. XI, 7. — §§ 51- 57 = Vd. Xv ! 5t 5G. 57. Le faux purificateur est puni de mort, comme le sérail un médecin qui apporterait l’épidém
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expulse », c’est-à-dire que « l’oufant sort, puis meurt ». 21. mimarelilislianiilia, lill . « meurs de cet enfant ». 22. Dinkart, § 5i : « ([ui incombeatprincipaleiaeallos soins et l’enlrelien à donner à un enfant qui n’a pas de tuteur légitime » {madam apûnnii
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où il amène de l’eau dans une terre sans eau ’"et retire l’eau d’où il y en a trop. 4. Lill . « avec une voix qui parle liaut en accord avec la I^eligion », c’est-à-dire priant avec les sentiments d’un bon Zoroastrien. 5. Invoqué comme dieu de l’agriculture, comme nivdsildmnijas
Le Zend-Avesta (trad. Darmesteter)/Volume II/Vendidad/Fargard 15


I. (1-8) De cinq péchés qui rendent Peshôtanu II a (9-12). De l’union hors mariage et de l’avorlement : l’amant dont la maîtresse se fait avorter est considéré comme complice de l’infanticide. II b (13-19). Obligations du père naturel envers la femme et envers l’enfanl. III
Le Zend-Avesta (trad. Darmesteter)/Volume II/Vendidad/Fargard 8 App A


iNous croyons utile de résumer ici les cérémonies funéraires en usage à présent chez les Parses. Nous signalerons au fur et à mesure les points où elles diffèrent de l’usage ancien : les différences, ici comme dans le rituel (vol. 1, XGi), viennent surtout des pertes subies dans
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hamàk-dîn « toute la religion » est employé dans le Dàdistàn pour désigner le service religieux roinplcl (XLIV. 2 ; lAVI, 1, 2 ; lAXVill, 19 ; LXXXl, 14 ;, ou, comme dit Nérioscugli, sumiKjrdd’iuèv ejuiiam, « la célébralioii di’ tout le culte ■ (ad Mit}okhard, IV,
Le Zend-Avesta (trad. Darmesteter)/Volume III/Chapitre VII/II


Si les Gâtlias oui été écrites au luiiiou du i" siècle de notre ère, il suit que les Gâthas el à plus forte raison le reste de l’Avesta ont été écrits dans une langue morte. Au i" siècle de noire ère, le zend, on le voit par les formes Vaninda, Oado, Shahrèvar, n’était plus
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calculés. 2. Les trois juges de l’autre moniic. 3. Les trois feux sacrés : vol. I, 151 sq. 4. Lill . « avec trois paroles, avec cent paroles, etc.. ». 5. ràsta. 6. Cf. § 2. T. m. 2 ;^ Catégorie : Page non corrigée