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Tu me demandes de te raconter une histoire. En voici une. Elle n’est pas drôle et ne te fera pas rire : elle se passe... dans l’année terrible. — Mais il est bon que les enfants fassent dès leur jeune âge connaissance avec Hans, un grand diable de bonhomme aux coudes pointus et aux

les passants, pressés, poussés, unis deux à deux le long des trottoirs, semblent danser une sarabande , pas de caractère où toutes les nations figurent, ballet universel mille fois plus vivant encore que le fameux galop de Musard ; la réputation de cette rue classique et cependant fantastique

parmi de nombreux professeurs de solfège, d’harmonie et de chant, de violon, de violoncelle, de contrebasse , d’orgue et d’improvisation, de composition, de flûte, de hautbois, de clarinette, de cor, de cor chromatique, de basson, de trompette et de trombone, — cet édifice où l

les ressorts grinceraient, le spectacle obscène d’un monde épileptique, comme doit être une sarabande de singes du Congo, ou une orgie sanglante d’un roi du Dahomey… Qu’on se figure un homme à peu près aussi sensé que les héros de M. Victor Hugo, un personnage de mardi gras

chats, des oiseaux, des écureuils, et même un petit cheval appelé Criquetin, qui dansait la sarabande  : mais tout cela ne valait pas un mot de Babiole. Elle était de son côté plus contrainte chez la reine que chez le prince ; il fallait qu’elle répondît comme une sibylle, à cent

fameuse liste de don Juan. Les duchesses y donnaient la main aux bourgeoises, et c’était une sarabande de victimes. Cependant la troupe parlementaire à laquelle Bulwer commandait, continuait ses attaques contre le : pouvoir et ses mouvemens politiques. Grand défenseur des lettres, représentan

Dans les Scènes et Proverbes de M. Octave Feuillet, on aime du moins à reconnaître une nature littéraire qui a échappé aux contagions régnantes. M. Octave Feuillet, par la grâce de son esprit, par l’aimable distinction de son talent, est un des jeunes écrivains qui ont le plus de

En ce moment, dix heures sonnaient au village. Stann, complètement assommé par la ligue des « dés à coudre », ferma les yeux, ne bougea plus et l’horrible gelée allait infailliblement changer sa torpeur d’ivrogne en un éternel sommeil, lorsqu’il se sentit violemment secoué

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