Portraits et Études


HUGUES IMBERT PORTRAITS ET ÉTUDES CÉSAR FRANCK — C. M. WIDOR — ÉDOUARD COLONNE JULES GARCIN — CHARLES LAMOUREUX FAUST, PAR ROBERT SCHUMANN — LE REQUIEM DE BRAHMS LETTRES INÉDITES DE GEORGES BIZET Avec un portrait gravé à l’eau forte par E. Burney PARIS LIBRAIRIE FISCHBACHER
Le Bouquet inutile/Texte entier


Notre amour ce soir se penche, Comme s’incline la branche, Comme penche la clarté Où s’émerveille l’été… Il s’élance, brusque flamme. Danse une danse de femme, Il est ivre de l’oubli De la paresse et du lit, Ivre de ses mains chargées, De ses paupières dorées
Le Cousin Pons


Dédicace À Don Michele Angelo Cajetani, prince de Teano. Ce n’est ni au prince romain, ni à l’héritier de l’illustre maison de Cajetani qui a fourni des papes à la Chrétienté, c’est au savant commentateur de Dante que je dédie ce petit fragment d’une longue histoire. Vous
Grand Traité d’instrumentation et d’orchestration modernes/Le Piano


Est un instrument à clavier et à cordes métalliques mises en vibration par des marteaux. Son étendue actuelle est de six octaves et une quarte. Il s’écrit sur deux clefs différentes à la fois : la clef de Fa est affectée à la main gauche et la clef de Sol à la main droite. Quelques
Les Soirées de l’orchestre


compositeur. SIEDLER, chef des seconds violons. DIMSKI, première contre-basse. TURUTH, seconde flûte . KLEINER aîné, timbalier. KLEINER jeune, premier violoncelle. DERVINCK, premier hautbois. WINTER, second basson. BACON, alto. (Ne descend point de celui qui inventa la poudre.)
Revue musicale, 1863/03


Il faut avouer que le théâtre de l’Opéra-Comique n’est pas heureux, depuis quelque temps, avec les nouveaux ouvrages dont il cherche à enrichir son répertoire. À peine avait-il essuyé les larmes que lui avait fait verser la perte de la Déesse et le Berger , qu’il voit mourir,
Revue musicale - Beethoven, ses critiques et ses glossateurs


M. Oulibichef est un grand admirateur de Mozart. Il considère l’auteur de Don Juan et de la Flûte enchantée comme le musicien universel qui a réuni et fondu dans son œuvre divine les propriétés des différentes écoles antérieures à son avènement. A partir de la mort de Mozart
Mozart et la Flute enchantée, souvenirs d’Allemagne


comme un or précieux l’air de Sarastro, l’hymne à l’amour, et vingt autres merveilles de sa Flûte enchantée . On sait de quelle suite d’aventures picaresques ce glorieux chef-d’œuvre fut le produit. Il s’agissait pour Mozart de tirer d’embarras au plus vite un pauvre diable
Revue musicale, 1862/04


chanté après et n’a point révélé que ce maître ait eu jamais le vrai sentiment religieux. Le concerto en sol pour piano et grand orchestre de Beethoven, cette admirable page dont l’ andante seul est une inspiration étonnante, a été rendu avec un grand talent par M. Théodore