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Ne m’achete point de chair, Car, tant soit-elle friande, L’esté je hay la viande. Achete des abricos, Des pompons, des artichôs, Des fraises et de la crême : C’est en esté ce que j’aime, Quand, sur le bord d’un ruisseau, Je les mange au bord de I’eau, Estendu sur
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Tes boccages soient tousjours pleins D’amoureuses brigades De Satyres et de Sylvains, La crainte des Naiades ! En toy habite desormais Des Muses le college, Et ton bois ne sente jamais La flame sacrilege ! À SON LAQUAIS J’ay l’esprit tout ennuyé D’avoir trop estudi
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Livre:Wright - French Verse of the XVI century , 1916.djvu La bibliotheque libre. Sauter a la navigation Sauter a la recherche Titre French Verse of the XVI Century Auteur Collectif Éditeur Charles Henry Conrad Wright Maison d’édition Heath Lieu d’édition New-York Boston
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Page:Wright - French Verse of the XVI century , 1916.djvu/9 La bibliothèque libre. Sauter à la navigation Sauter à la recherche Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé. TABLE OF CONTENTS PAGE Introduction v Clément Marot 1 Melin
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Un pastoureau, qui Robin s’appeloit, Tout a par soy n’agueres s’en alloit Parmy fousteaux ^ (arbres qui font umbrage), Et la tout seul faisoit de grand courage^ Hault retentir les boys et Tair serain, Chantant ainsi : « O Pan, dieusouverain, Qui de garder ne fus one paresseux