Quatrevingt-treize/III, 2


L’été de 1792 avait été très pluvieux ; l’été de 1793 fut très chaud. Par suite de la guerre civile, il n’y avait pour ainsi dire plus de chemins en Bretagne. On y voyageait pourtant, grâce à la beauté de l’été. La meilleure route est une terre sèche. À la fin d’une
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desservie par un autre prêtre du nom d’Hermeniot. Vers l’an 1040 on 1041 (1), Main, seigneur de Fougères , qui Parait agrandie et mise dans un état convenable, la donna a l’abbaye de Marmoutiers, avec deux inansesmle terre contià. « gües au cimetière, et trois maisons, dont
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Langoué, Lanrigan, dans celui de Rennes ; Landavran dans celui de Vitré ; Landéan dans celui de Fougères ; Plerguer, Lanhélin, Tréméheuc, Baguer-Morvan, Minihic, Pleurtuit, Plesder, Pleugueneuc, Tinténiac, Trévérien, Trimer, dans celui de Saint-Malo. Ce sont là d’infaillibles
La Chanson du biniou/12


Un mois s’est passé. Que la terre bretonne est belle sous la bruyère et sous l’ajonc ! La bruyère, avec ses gammes violettes qui vont du mauve le plus tendre au pourpre le plus foncé, la bruyère est la poésie de ces landes et l’ajonc en est la gaieté. Au printemps, la sombre Armorique
La Mirlitantouille (Lenotre)/3


Le manoir de Bosseny [1] vers lequel, en ce matin funèbre, fuyait mademoiselle de Kercadio, guidée par Hervé Du Lorin et son compagnon, était situé au fond d’un repli boisé de l’interminable et aride Mené ; d’épais fourrés l’enveloppaient si bien « qu’on ne l’apercevait
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des fiefs qui la composaient ; mais bien que la paroisse de Beaucé relevât de la baronnie de Fougères , la terre déLa Motte relevait de celle de Vitré, comme faisant partie de la terre de Châtillon ; et malgré mes recherches les plus actives, je n’ai pu retrouver qu’un petit nombre
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droits de sa charge ; il ÔUÙCOHIÎHUOI‘ néanmoins de faire chaque année, ‘a la recette de Fougères , l’apport et l’a.cquit des rentes dues au seigneur, lesquelles lui étaient remises par ‘les deux autres sergents dans les années de leurextareice, lui ‘seul ayant qualit
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288 la Cochonnais le titre et l’office de sergent forestier féodé et héréditaire de la forêt de Fougères , afin que le possesseur de ces maisons jouit de tous les droits et émoluments qui étaient attachés à cet office, tels que les droits d’usage a hoisïlans la forêt, tant
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ses descendants par lettres pelenles de Pierre et de Jean, comtes d’Alenço.n et seigneurs de Fougères , (lonnées ä Alençon, les premières le 10 septembre ‘l 381, les autres en M28, à’la charge d’exercel’ou (le faire exercer ‘ la charge de garde forestier dans une partie