Alméria


féminin singulier ( Géographie ) Variante de Almería Au temps de l’émir almoravide, Ali Ibn Yusuf, al-Andalus fut agitée par les prêches de ce mystique qui, après avoir vécu à Saragosse et exercé la charge de vérificateur des poids et mesures à Valence, revint s’installer
taifa


la puissance omeyyade d' Occident . Il y eut bientôt une taifa arabo-andalouse, une taifa berbère , une taifa esclavonne, en butte à des guerres intestines, les royaumes les plus forts annexant les plus faibles ou bien leur imposant d'humiliantes dépendances . — (Rachel Arié, Étude
qayna


belles lettres arabes, Volume 62 , 1999, p. 179) Al-Gâhiz, précurseur de nombreux moralistes, tel Ibn Hazm, mobilise le recours à la raison contre un désir transgresseur de l’ordre établi. Il prend pour cible principale la « qayna », musicienne et chanteuse érudite qui, par
m’halla


Leroux, Paris, 1904, p. 55) Les déplacements des anciens rois du Maroc, au-delà même de la dynastie alaouite, étaient soit des « harkas », soit des « m’hallas ». Soit pour maintenir l’unité nationale d’un Maghreb uni qui avait pour capitale Marrakech, Rabat, Fès ou Meknè
Abadite


عباد , Abbad nom de Abbad Ier , roi maure occupant la taifa de Séville (Espagne), et chef de la dynastie dont il est l’ éponyme . Apparenté à abd , abdalas , Abadiote . Nom propre [ modifier ] Nom propre Singulier Pluriel Masculin et féminin Abadite Abadites
méridianiser


Mettre aux normes des hôtels Le Méridien. Aux côtés de deux autres unités du groupe (Les Mérinides et Le Berbère Palace), «La Tour Hassan», rouvert et « méridianisé » depuis une dizaine de jours, constituera le fer de lance du nouveau concept « Palaces et traditions» lanc
mérinide


modifier | modifier le wikicode ] Singulier Pluriel Masculin et féminin mérinide mérinides \me.ʁi.nid\ mérinide \me.ʁi.nid\ masculin et féminin identiques Relatif aux Mérinides , une dynastie d’origine berbère zénète; Voir aussi [ modifier | modifier
piaculaire


autour de ces rituels de deuil. — ( Annales , vol.39, p.1065, Armand Colin, 1 juillet 1984) Ibn Fadlân montre que cette pratique piaculaire se poursuivait au X e siècle : « Les femmes ne pleurent pas sur le mort, mais ce sont les hommes qui viennent le jour même de la mort et
zekkat


supplémentaire, destiné à parer aux frais extraordinaires de la guerre, que les Almohades et les Mérinides avaient déjà commencé de percevoir. — (Eugène Aubin, Le Maroc d'aujourd'hui , Librairie Armand Colin, 1905, p.242) Variantes orthographiques [ modifier ] zakat , zakâ