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Les Abd el-Ouad, dynastie berbère, venaient d'être dé- trônés par Abou '1-Hacen, sultan des Mérinides . Ils avaient possédé les contrées qui s'étendent depuis le Molouïa, du côté de l'occident, jusqu'à la ville de Médéa et de Dellys du côté de l'orient. Leur capitale était
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Ghazi de se rendre. Le nou- veau sultan, Abou '1-Abbas, fit son entrée dans la capitale des Etats mérinides , le 20 juin 1874, et, par suite d'un second Catégorie : Page non corrigée
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campagnes suiv. * entreprises par Abou Eïnan. ' On reconnaît encore les ruines de cette * Chezles Mérinides , le hadjeb ou grand ville sur la rive droite de la Mina , à quatre chamlellan était le personnage le plus élevé ou cinq lieues du Chélif. de l'Etat après le sultan. Prolégomèn
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tribus rîahides, il se décida à l’envoyer chez ces peuplades afin de les rallier au parti des Mérinides . Notre auteur était maintenant installé dans le ribat ou couvent d’Abou-Medîn, avec la résolution de renoncer au monde ; il avait même commencé à enseigner les jeunes lève
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semaines plus tard, il quitta le service de ce prince et se rendit à Fez, capitale des États mérinides . En l’an 1356, il fut attaché au secrétariat du sultan mérinide Abou Eïnan. Mis en prison, l’année suivante, par ordre de ce souverain, il recouvra la liberté l’an 1359, et
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l'Etat. Il fut ainsi la cause de la chute du souverain; le vizir Omar Ibn Abd-Allah, s'élant emparé de la capitale, rallia tous les Mérinides autour de lui et prononça la déchéance d'Abou Salem. Cette révo- lution coûta la vie au sultan, ainsi que nous l'avons raconté dans notre Histoire
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autre bord K Débarqué à Djebel el-Feth (Gibraltar), qui appartenait alors au souverain des Mérinides , j'écrivis à Ibn el-Ahmer^, sultan de Gre- nade , et à son vizir Ibn el-Khatîb , pour les informer de ce qui m'était arrivé, et je partis ensuite pour Grenade. Arrivé à la distance
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supposer qu'elle représente le texte du manuscrit offert par Ibn Khaldoun à la bibliothèque des Mérinides , et que l'éditeur aura confronté ce texte avec le manuscrit pré- senté par l'auteur au sultan de Tunis. Je ne pense pas ce- pendant que Nasr el-Hourîni les ait suivis bien exactement
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des soldats étaient de nos manuscrits , ce chapitre en forme des réfugiés Abd-el-Ouadites et Mérinides . trois. (Voy. l'Histoire des Berbers, t. VI, p. 469 ' Pour o^\ y^-.lisez cAiXl ^^\ tiUjj et suiv. de la traduction.) avec les manuscrits et l'édition de Boulac. Catégori
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On ne trouve pas la moindre trace d'un hadjeb parmi les officiers du plus grand des empires zenatiens, celui des Mérinides '. L'admi- nistration de la guerre et le commandement de l'armée appartenaient au vizir ; les fonctions de la comptabilité et de la correspondance se donnaient à