La Question du Maroc et les intérêts européens en Afrique


des débuts’ d’un nouveau règne pour faire prévaloir sur les traditions de la politique d’ Abd -er-Rahman des relations internationales plus conformes au droit des gens et aux intérêts légitimes de l’Europe. I. — État des connaissances sur le maroc. — La nature, les populations
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quelques modifications. L'au- teur y fait l'éloge du sultan hafside Abou l'-Abbas Ahmed, fils d'Abou Abd -Allah Mohammed, fils du khalife et émir des croyants, Abou Yahya Abou Bekr, et nous apprend qu'il pré- senta cet exemplaire de son ouvrage à la bibliothèque de ce souverain. Nous savons
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au milieu de forêts d’oliviers, est celui de la mosquée détruite de Mansoura, la ville des Mérinides , qui a fuit place à un modeste village. Telle est Tlemcen extérieurement. Que Ion pénètre maintenant dans le cœur de la ville, dans la grande mosquée, on aura, du haut de son minaret
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royale en 1833, aux frais de l’État. J-n. ABOUL-HACAN ALI, roi de Maroc, de la dynastie des Mérinides , s’est rendu célèbre par n ambition, son couraqe et ses malheurs. Successeur de père, Abou-Saïd Othman, l’an de l’hégire 731 (de.-C. 1330), il résolut d’abord de sacrifier
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régent Omar-Ibn Abd -Allah. » — « Il me demanda, dans cette séance, des renseignements sur Bougie, et comme il laissait entrevoir le désir de s’en emparer, je lui montrai combien cela lui serait facile. Mes paroles lui firent un vif plaisir, et le lendemain il ordonna ma mise en
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Mauritanie sous les trois dynasties dont il fut contemporain : celle des Hafsides, à Tunis, celle des Abd el-Ouadites, à Tlemcen, et celle des Mérinides , à Fez. Les révoltes, les guerres, les révolutions, les perfidies des Arabes nomades, qui, jouissant d’une entière indépendance
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peste terrible qui sévit à Tunis en 749 (1348-9), il laissa trois enfants : Mohammed, Abou-Zeid Abd -er-Rahman et Abou-Zékérïa-Yahya. L’aîné de ces frères n’a rien fait qui pût transmettre son nom à la postérité ; le cadet nous a laissé une histoire de Tlemcen [1] , et sa
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révolte contre le gouvernement de Tunis. Le royaume des Haf- sides se nommait l'Ifrîkiya. Les Abd el-Ouad, dynastie berbère, venaient d'être dé- trônés par Abou '1-Hacen, sultan des Mérinides . Ils avaient possédé les contrées qui s'étendent depuis le Molouïa, du côté de l
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Les chapitres suivants fournissent des renseignements sur les Beni Abd -el-Ouad : Tome III, Les Zenata de la 3 e race, Histoire des Beni Abd -el-Ouad, Les Beni-Gommi, Les Beni-Mendîl, Les Iloumi et les Ouemannou, Les Maghraoua, Les Toudjîn, Les Beni-Rached, Les Beni-Selama. Les
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l'Etat. Il fut ainsi la cause de la chute du souverain; le vizir Omar Ibn Abd -Allah, s'élant emparé de la capitale, rallia tous les Mérinides autour de lui et prononça la déchéance d'Abou Salem. Cette révo- lution coûta la vie au sultan, ainsi que nous l'avons raconté dans notre