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Amyot , César, 66. Cimber avec les deux rn.ains Iuy avalla sa robbe de dessus les espaules.. ID, , Brel -tus, 17. S’estant elle mesme accoustree„ cl ayant avallé son vestement autour d’elle, sans vouloir souffrir qu’autre personne s’approcha st. d’elle ny la regardast, sinon le
Analyse du Kandjour/Çer-chin


Prajña-paramitâ. Il y a dans ce volume dix-huit traités ou aphorismes différents dont voici les titres : I . Rab rtsal-gyis-rnam-par-gnon-pas-jus-pa རབ་རྩལ་གྱིས་རྣམ་པར་ Sk. Suvikrânta-vikramî paripṛccha (prajñâ-pâramitâ) par Bcom-ldan-hdas
Mahāyāna-Sutrālamkāra/Chapitre IX


1. Par d’incalculables épreuves, par d’incalculables accumulations de Bien, par une incalculable durée, par l’épuisement d’incalculables Obstructions, 2. La Connaissance Omnigénérique est atteinte, nettoyée de toute Obstruction, comme une cassette de bijoux grande ouverte
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elle l’a imoi t comme son pere, et ne le voulut applaudir comme ses sœurs. LE BAUD, Hist. de BreL , ch. 2 (G., Corne). lin blanc laurier1.. vint jusques a la personne dudit comte, lequel il commença a cherir et applaudir+ ib„ ch. 39 (G., Compl.). Applauseinent. Applaudissement. Je te
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Macleod ( Ergebnisse der Physiologie , 30 , 1930, p. 409) donne la bibliographie complète. ↑ Brel , Thèse médicale de Bordeaux , 1921 ; N. Paton , Journal of Phys ., 29 , 1913, p. 286 ; Graham Lusk , Proc. Soc. Exper. Biol. a Med . 14 , 1913, p.49. ↑ Braier , C. R. Soc. Biol
Santez Trifina/Préface


Champenois de naissance, Parisien de vie, et depuis quelques années Normand d’adoption, quels titres avais-je à présider cette réunion essentiellement bretonne ?… J’en avais cependant, et mes amis Le Braz et Le Goffic, en me faisant appeler au milieu de vous, savaient bien qu’ils
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lutte terrible s'engage; enfin Pépin peut tirer son couteau et tue le lion : « Après vint a son cheval, qui mult estoit navreis, et ata- chat le lion a la couwe de son cheval et l'amenât avuec li a l'oust. » Rentré en France, « adont fist le petis Pépin ameneir avuec ly sour une
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compte de la moins grande dimension du pied au xiii" siècle. Mais d'autres ont été beaucoup plus loin : le roman du Comte de Poitiers ne lui donne que trois pieds et demi ', que la petite Chronique en vers des rois de France lui accorde à peine ^ ; à l'exi- guïté la 5^;-/^ franco-vénitienn
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tion, destiné à jeter de l'odieux sur les compétiteurs du jeune Charles et h montrer dans quel péril et dans quel abandon il se trouve jeté à la mort de son père. Pépin, d'après la tradition épique, laissa quatre enfants : les deux bâtards Heldri et Rainfroi, Charles, et une fille
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patantss ïpe furent point enregistrées. Boasuet observe qu’on n’eut en France aucun égard i sa brel’ , et que l’on fut obllgé, pour l’instruction des nouveaux catholiques, de répandre des milliers d’exemplaires de la messe en français (Lam à son usant. L mai 1699). L’abb