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Amyot , César, 66. Cimber avec les deux rn.ains Iuy avalla sa robbe de dessus les espaules.. ID, , Brel -tus, 17. S’estant elle mesme accoustree„ cl ayant avallé son vestement autour d’elle, sans vouloir souffrir qu’autre personne s’approcha st. d’elle ny la regardast, sinon le
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Aktutz fu fort ri fitrrt, taillant et nMct C/êCfalim. Cil de Rrctauigne Feimorrrent, At Hiuz Brel pour cru fri/ielrrenl. Qu’à Unir iùi en Rar dr Brelaùigne Que nus avant de Challematngnc, .» n oui tenu si fièrement Ht daigne tout ci fermement. Catégorie : Page non corrigé
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Main, 501) mari, ‘et de a Jutltal, son filSN a (D. Mura, Pr. I, col. 424 ; Bulletin de FAss. BreL , t. Iil, Mém, p. 194.) LÏéglise de Shunt-SauveutLdes-Laudes nous apparaît donc ici comme la demeure s-épttlchrale des premiers possesseurs de la terre de Fougères et des membres, de
Mahāyāna-Sutrālamkāra/Chapitre IX


1. Par d’incalculables épreuves, par d’incalculables accumulations de Bien, par une incalculable durée, par l’épuisement d’incalculables Obstructions, 2. La Connaissance Omnigénérique est atteinte, nettoyée de toute Obstruction, comme une cassette de bijoux grande ouverte
Santez Trifina/Préface


plus belle depuis qu’on l’a débarrassée de tout ce qui en avait tardé la sincérité. Ces chansons populaires du pays breton, dont on ne soupçonnait pas l’existence il v a un siècle, ont pris place côté de celles de l’Écosse, des pays scandinaves, de l’Allemagne et de la
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lutte terrible s'engage; enfin Pépin peut tirer son couteau et tue le lion : « Après vint a son cheval, qui mult estoit navreis, et ata- chat le lion a la couwe de son cheval et l'amenât avuec li a l'oust. » Rentré en France, « adont fist le petis Pépin ameneir avuec ly sour une
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compte de la moins grande dimension du pied au xiii" siècle. Mais d'autres ont été beaucoup plus loin : le roman du Comte de Poitiers ne lui donne que trois pieds et demi ', que la petite Chronique en vers des rois de France lui accorde à peine ^ ; à l'exi- guïté la 5^;-/^ franco-vénitienn
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tion, destiné à jeter de l'odieux sur les compétiteurs du jeune Charles et h montrer dans quel péril et dans quel abandon il se trouve jeté à la mort de son père. Pépin, d'après la tradition épique, laissa quatre enfants : les deux bâtards Heldri et Rainfroi, Charles, et une fille
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patantss ïpe furent point enregistrées. Boasuet observe qu’on n’eut en France aucun égard i sa brel’ , et que l’on fut obllgé, pour l’instruction des nouveaux catholiques, de répandre des milliers d’exemplaires de la messe en français (Lam à son usant. L mai 1699). L’abb
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Ces mains tfhommes sont celles des ouvriers, des conduc- teurs, des cantonniers qui tendent le brel pour lIl0nlt‘st‘ li route sa œsvd. ' · · · · Verset 9. Leurs alles étalent jointes Puce a Feutre; ils ne se retour- assaut palnt quand tts amdnslnt, mats ellesa allais droit devant