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Aktutz fu fort ri fitrrt, taillant et nMct C/êCfalim. Cil de Rrctauigne Feimorrrent, At Hiuz Brel pour cru fri/ielrrenl. Qu’à Unir iùi en Rar dr Brelaùigne Que nus avant de Challematngnc, .» n oui tenu si fièrement Ht daigne tout ci fermement. Catégorie : Page non corrigé
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patantss ïpe furent point enregistrées. Boasuet observe qu’on n’eut en France aucun égard i sa brel’ , et que l’on fut obllgé, pour l’instruction des nouveaux catholiques, de répandre des milliers d’exemplaires de la messe en français (Lam à son usant. L mai 1699). L’abb
Santez Trifina/Préface


Mon premier mot doit être un mot de remerciement pour les organisateurs de cette belle fête, qui m’ont fait le grand honneur de m’inviter à la présider. Cet honneur, je ne l’ai reçu sans un certain étonnement. Rien ne me désignait, semblait-il, pour en être l’objet. Champenois
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Amyot , César, 66. Cimber avec les deux rn.ains Iuy avalla sa robbe de dessus les espaules.. ID, , Brel -tus, 17. S’estant elle mesme accoustree„ cl ayant avallé son vestement autour d’elle, sans vouloir souffrir qu’autre personne s’approcha st. d’elle ny la regardast, sinon le
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elle l’a imoi t comme son pere, et ne le voulut applaudir comme ses sœurs. LE BAUD, Hist. de BreL , ch. 2 (G., Corne). lin blanc laurier1.. vint jusques a la personne dudit comte, lequel il commença a cherir et applaudir+ ib„ ch. 39 (G., Compl.). Applauseinent. Applaudissement. Je te
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lutte terrible s'engage; enfin Pépin peut tirer son couteau et tue le lion : « Après vint a son cheval, qui mult estoit navreis, et ata- chat le lion a la couwe de son cheval et l'amenât avuec li a l'oust. » Rentré en France, « adont fist le petis Pépin ameneir avuec ly sour une
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compte de la moins grande dimension du pied au xiii" siècle. Mais d'autres ont été beaucoup plus loin : le roman du Comte de Poitiers ne lui donne que trois pieds et demi ', que la petite Chronique en vers des rois de France lui accorde à peine ^ ; à l'exi- guïté la 5^;-/^ franco-vénitienn
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tion, destiné à jeter de l'odieux sur les compétiteurs du jeune Charles et h montrer dans quel péril et dans quel abandon il se trouve jeté à la mort de son père. Pépin, d'après la tradition épique, laissa quatre enfants : les deux bâtards Heldri et Rainfroi, Charles, et une fille
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Ces mains tfhommes sont celles des ouvriers, des conduc- teurs, des cantonniers qui tendent le brel pour lIl0nlt‘st‘ li route sa œsvd. ' · · · · Verset 9. Leurs alles étalent jointes Puce a Feutre; ils ne se retour- assaut palnt quand tts amdnslnt, mats ellesa allais droit devant
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texte, et qu’il faut en rejeter. ↑ Au lieu de tacchistah, lire tacchlistah : tib. de dan ’ brel « uni avec celui-ci ». Catégorie : Page non corrigée