Quelques épis d'une gerbe/La chanteuse


Tu chantes, pauvre femme, une chanson joyeuse Que déchire la vielle étrangère à tes doigts ; Tu souris à la foule oisive et curieuse, Pauvre mère !... et j’entends des sanglots dans ta voix ! Oh ! chanter pour manger lorsque ton âme pleure ! Promener par la ville une
À une petite chanteuse des rues


À une petite chanteuse des rues La bibliothèque libre. [index] Aller à : Navigation , rechercher Théodore de Banville — Les Stalactites À une petite Chanteuse des rues Mon père est oiseau, Ma mère est oiselle, Je passe l'eau sans nacelle, Je
La Jeunesse blanche (1913)/Chanteuse d’oubli


Et demande en passant notre cœur pour aumône. Et nous, hallucinés par ses yeux d’anémone Et son costume clair enrichi de festons, Nous ouvrons la fenêtre et nous le lui jetons. Mais voici qu’aussitôt la belle se dérobe Emportant notre cœur dans les plis de sa robe Pour s’en
Modernités/Chanteuse


Blonde, sèche et pourtant digne d’être rêvée Sous sa toque en vison de voyou parisien Et ses fades cheveux ramenés à la chien, L’ayant à la Scala tout un soir observée, Elle allait, laissant là sa glace inachevée, Partir… Et le d’Harcourt, où le Saint-Cyrien Foisonne