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cherche avant tout ce qui est antique et simple, celui-ci au contraire a plus de valeur. Les deux Talmuds locaux, dont la réunion forme le Talmud total, sont donc divisés l’un et l’autre, d’après la division de la mischna qui leur est commune en six sedarim ou livres d’ordonnances
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démontrent que le christianisme n’est pas aussi original que le prétendent ses apo- logistes. Les Talmuds , composés durant les six premiers siècles de notre ère, contiennent de subtiles remarques et des discussions quintessenciées ; malheureusement, les détails intéressants
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que, la chaîne de 'la tradition ayant été brisée, et l’autorité des chefs d‘académie amoindrie par des circonstances politiques que faurai à exposer, ils durent se borner à émettre de simples opi- nions sur le contentieux de la foi, et ne plus se considérer · nomme les continuateurs
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le targum de Jérusalem ; apparemment par la même raison qui a fait donner ce nom à un des talmuds ; c’est-à-dire, parce que c’est le dialecte de Jérusalem, car le chaldéen ou la langue d’Assyrie avoit trois dialectes. Le premier étoit celui de Babylone, la capitale de l’empire
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Les manuscrits seront adressés à M. Fraukel, Grand-Rabbin l Dresde, rédacteur du recueil en question. Le terme pour I’envoi de la réponse à la première question est fin septembre 185î; celui de la seconde, ün-septembre 1854, et celui de la troisième, fin septembre 1855. Le jugement
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Ces deux talmuds , qui étouffent la loi & les prophetes, contiennent toute la religion des Juifs, telle qu’ils la croient & qu’ils la professent à présent. Mais celui de Babylone est le plus suivi : l’autre à cause de son obscurité & de la difficulté qu’il y a à l’entendre
L’Encyclopédie/1re édition/GUÉONIM, ou GÉHONIM


GUÉONIM, ou GÉHONIM, ( Théolog. ) mot hébreu qui signifie excellent ; c’est le titre qu’ont pris certains rabbins qui demeuroient dans le territoire de Babylone, comme M. Simon l’a remarqué dans son supplément aux cérémonies des Juifs : il observe en même tems que les Arabes
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nomme aussi ordinairement Talmud , du nom commun de tout l’ouvrage. Il y a deux gemares ou deux Talmuds , celui de Jérusalem & celui de Babylone. La gemare n’est autre chose que l’explication de la mischna donnée par des docteurs juifs dans leurs écoles, à-peu-près comme les commentaires
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GUELLES, terme de Blason , qu’on a dit autrefois pour gueules ; couleur rouge appellée ainsi de la gueule des animaux. GUÉONIM , ou GÉHONIM, ( Théolog. ) mot hébreu qui signifie excellent ; c’est le titre qu’ont pris certains rabbins qui demeuroient dans le territoire de Babylone
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Les Samaritains étoient payens, & ils continuerent à adorer leurs idoles, jusqu’à ce que pour se délivrer des lions, qui les incommodoient beaucoup, ils souhaiterent d’être instruits de la maniere de servir le Dieu d’Israël, espérant d’appaiser par ce moyen la colere du dieu