De l’Allemagne/Seconde partie/XVI


capitale où les ressources de la richesse et des arts soient réunies ; et tout est dispersé en Allemagne . Dans une ville il y a des acteurs, dans l’autre des auteurs, dans une troisième des spectateurs ; et nulle part un foyer où tous les moyens soient rassemblés. Lessing employa
Page:De Staël – De l’Allemagne, Tome 3, 1814.djvu/259


de la couronne des vierges saintes pour parer même un front guerrier. Si le jeune homme veut partager avec un seul objet les jours brillants de sa jeunesse, il trouvera sans doute parmi ses contemporains des railleurs qui prononceront sur lui ce grand mot de duperie , la terreur des enfants
De l’Allemagne/Seconde partie/XXVIII


amusement trompée causeroit une fatigue insurmontable. La foule des romans d’amour publiés en Allemagne a fait tourner un peu en plaisanterie les clairs de lune, les harpes qui retentissent le soir dans la vallée, enfin tous les moyens connus de bercer doucement l’âme ; mais néanmoin
Page:Berlioz - Voyage musical en Allemagne et en Italie, II, 1844.djvu/49


Page:Berlioz - Voyage musical en Allemagne et en Italie, II, 1844.djvu/49 La bibliothèque libre. Aller à : navigation , rechercher Cette page n’a pas encore été corrigée M. le Secrétaire-Perpétuel , se trouve le maître illustre de l’élève couronné ; l’élve
Contribution à la critique de La philosophie du droit de Hegel


Pour l Allemagne , la critique de la religion est finie en substance. Or, la critique de la religion est la condition première de toute critique. L'existence profane de l'erreur est compromise, dès que sa céleste oratio pro aris et focis a été réfutée. L'homme qui, dans la réalit
Page:De Staël – De l’Allemagne, Tome 1, 1814.djvu/251


chères que toi. Saisis cette couronne, si ton génie le veut : mais qu’il me soit permis de la partager avec toi. Catégorie : Page corrigée
Page:De Staël – De l’Allemagne, Tome 1, 1814.djvu/289


sont également propres à dire ce que l’on pense, toutes ne le sont pas également à faire partager ce que l’on éprouve, et les effets de la poésie tiennent encore plus à la mélodie des paroles qu’aux idées qu’elles expriment. L’allemand est la seule langue moderne qui ait
Page:De Staël – De l’Allemagne, Tome 2, 1814.djvu/40


et dont il est aimé, l’amour qu’il a pour elle, déterminé qu’il est à ne pas lui faire partager son malheur en l’épousant. Voilà tout le sujet de Minna de Barnhelm. Avec des moyens aussi simples Lessing a su produire un grand intérêt ; le dialogue est plein d’esprit et de
Page:De Staël – De l’Allemagne, Tome 2, 1814.djvu/119


trompettes guerrières des Français : Dieu a décidé, la victoire est à nous. Nous voulons partager avec notre ami les lauriers que nous avons conquis. Oh ! viens avec nous, noble transfuge ; viens, c’est avec nous que tu trouveras la justice et la victoire : moi, l’envoyée de
Page:De Staël – De l’Allemagne, Tome 2, 1814.djvu/316


expier sa faute et sauver Manlius. Dans le fond de son cœur il a résolu, si son ami périt, de partager son sort. La douleur de Manlius est adoucie par les regrets de Servilius ; néanmoins il n’ose lui dire qu’il lui pardonne sa trahison effroyable ; mais il prend à la dérobée