Publications sur le XVIe siècle en Allemagne et en France


Il y a dans les lettres, dans ce monde si varié de l’intelligence, certaines figures illustres qui ne cessent d’attirer les regards, de s’imposer à la contemplation des hommes, d’être un objet de curiosité et d’attention constante pour les esprits studieux. Le temps n’ôte rien
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Quel est donc le caractère dominant de la politique de Louis XIV ? Est-ce cet abaissement systématique de l’ Allemagne dont le prédicateur de la garnison prussienne de Versailles entretenait ses auditeurs le 18 janvier ? Évidemment non. Le dessein capital de Louis XIV a été de recueillir
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Il sembla dans cette circonstance que Louis XIV avait compté devenir le protecteur avoué et autorisé de l’ Allemagne , obtenir la légitimation des réunions accomplies ou projetées, et même supplanter la maison d’Autriche dans la dignité impériale en faisant nommer son fils roi
La Politique confessionnelle en Allemagne et en France


qui, sous l’influence de la philosophie, s’était répandu de proche en proche dans toute l’ Allemagne , contagion funeste dont les catholiques eux-mêmes n’avaient pas su se défendre. La tolérance est fille de la tiédeur, et elle produit l’indifférentisme, qu’un autre pape flétrissai
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Nous n’insisterons pas sur cette question délicate ; les dissertations sont puériles là où les problèmes ne peuvent être résolus que par des faits énergiques. La Belgique a été mise en demeure, par le bon vouloir de l’Europe, de montrer si elle peut être une nation. Plus sa
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trait qui caractérise toute la situation morale de l’auteur, de ses amis, toute celle de l’ Allemagne . C’est une profession de panthéisme qui se présente de front et se nomme avec pleine franchise, mais avec tant de restrictions en faveur de la libre existence des individus, qu’on
De l’Allemagne/Seconde partie/XIX


Schiller, dans une pièce devers pleine de charmes, reproche aux Français de n’avoir pas, montré de la reconnoissance pour Jeanne d’Arc. L’une des plus belles époques de l’histoire, celle où la France et son roi Charles VII furent délivrés du joug des étrangers, n’a point encore