Le Roman anglais de notre temps/II


possédantes, les découvertes inouïes de la science, son conflit avec la religion. De sorte que la fiction repasse bien par les mêmes sentiers, mais y rencontre d’autres groupes dans des conditions plus complexes et une atmosphère plus agitée. L’évolution du roman a été comparé
La presse française en 1836


Il est assez ordinaire qu'en déplorant l'infécondité présente de notre littérature et l'engourdissement inexpliqué des esprits, on s'en prenne à la critique, qu'on accuse tout d'abord de partialité et d'indifférence. Elle manque, dit-on, à son devoir de sentinelle vigilante entre
Revue de la Littérature anglaise de 1840 à 1843/04


du coup de brosse à la perfection de l’art. Chef de l’école « exagérée, » et de ces écrivains que les Allemands appellent les écrivains de la foudre et de l’éclair, il se place de préférence dans l’exception ; il cherche le bizarre et l’extraordinaire. C’est ainsi
Jane Austen (Rague)/6


Au moment ou Jane Austen commençait à écrire, le roman anglais se trouvait en pleine décadence. Les grands écrivains qui avaient créé et développé la nouvelle littérature de fiction , Richardson, Fielding, Smollett, Sterne, Goldsmith, étaient disparus depuis une quarantaine dannée
La Crise du Protestantisme en Angleterre


Garibaldi, pas même la question du coton : c’est un volume dont le titre anodin, Essaie et Revues , ne faisait guère présager les tempêtes qu’il a soulevées. Il est vrai qu’il s’agissait de théologie et que les questions de cet ordre ont le privilège d’enflammer nos flegmatiques
L’Empire des tsars et les Russes/Tome 2/Livre 5/Chapitre 3


incursions dans la vie privée que l’exploration de la vie publique. J’aurais pu en appeler à la littérature russe, à sa tristesse et à son ironie, aux souffrances, à l’exil, à la fin prématurée ou à la vieillesse découragée de ses plus illustres écrivains , aux larmes latentes