Revue de la Littérature anglaise de 1840 à 1843/04


du coup de brosse à la perfection de l’art. Chef de l’école « exagérée, » et de ces écrivains que les Allemands appellent les écrivains de la foudre et de l’éclair, il se place de préférence dans l’exception ; il cherche le bizarre et l’extraordinaire. C’est ainsi
Le Roman anglais de notre temps/II


possédantes, les découvertes inouïes de la science, son conflit avec la religion. De sorte que la fiction repasse bien par les mêmes sentiers, mais y rencontre d’autres groupes dans des conditions plus complexes et une atmosphère plus agitée. L’évolution du roman a été comparé
L’Angleterre et la vie anglaise/08


un centre et d’une pensée commune. Les clubs se sont constitués de même que la société anglaise en vertu de la loi des affinités ; dans ce libre milieu, les individus s’unissent comme s’agrègent les molécules chimiques. Il y a telles personnes avec lesquelles on se sent plus
La presse française en 1836


Il est assez ordinaire qu'en déplorant l'infécondité présente de notre littérature et l'engourdissement inexpliqué des esprits, on s'en prenne à la critique, qu'on accuse tout d'abord de partialité et d'indifférence. Elle manque, dit-on, à son devoir de sentinelle vigilante entre