Cours de linguistique générale/Texte entier


Le Cours de linguistique générale professé par F. de Saussure a été si fécond en ce sens, qu’il n’a pas fini d’exercer son influence ; chaque linguiste y trouve encore de quoi nourrir sa curiosité et enrichir ses vues. Du point de vue qui est ici le nôtre, son caractère éminent
Cours de linguistique générale/Cinquième partie


remontent en grande partie aux substantifs féminins en -a (cf. plantāre : planta , grec tīmáō : tīmā́ , etc.) ; d’autre part, -ātum n’existerait pas si le suffixe indo-européen -to- n’avait pas été par lui-même vivant et productif (cf. grec klu-tó-s , latin in-clu
Voyage du capitaine Ross dans les régions arctiques/02


que les diverses tribus d’Esquimaux, lorsqu’elles se rencontrent, se saluent par les mots de Tima , Tima , je m’adressai à eux dans leur langue, et j’eus aussitôt pour réponse un cri général ; l’homme isolé de la troupe s’en rapprocha aussitôt et se mit en avant des rangs
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Cette feve est un noyau arrondi, inégal, en quelque maniere noüeux, très-dur, à demi-transparent, & d’une substance comme de corne, très-difficile à rompre, facile à raper, semblable à la noix vomique, de la grosseur d’une aveline, du goût d’un pepin de citron, mais beaucoup
La Reine-Blanche aux îles Marquises/02


On a vu déjà comment nous étions arrivés aux îles Marquises, quelles impressions éveillèrent en nous tout d’abord les spectacles d’un pays nouveau, quels incidens signalèrent les premiers momens de l’occupation [1] , Lorsque notre installation fut à peu près complète, un champ
Précis historique des révolutions de Naples et de Sicile/Texte entier


PRECIS niSTOHIQUE DES RÉYOLUTIOINS DE NAPLES ET DE SICILE. CHAPITRE PREMIER. Gélon, tyran de Syracuse, arant J.-C. 480. — Gélon dépose son . autorité entre les mains du peiipie. — Avant J.-C. 44 » Denis tyran de Syracuse. — Avant J.-C. 4o5, — 3\G, — les Syracusains appellent
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dont le premier i re- présente donc un ê long. La forme faible se trouve dans tenebrae et le si. tïma . La comparaison des mots sanskrits (p. 161) montre que le rac. fëm ou stëm réunissait en elle les idées à'htimidité, d'oh- samté^ de silence^ âHmmôbiUté. Au figuré elle rend
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encore admirer en elle la clémence. Je ne connais pas (le j)lns belles scènes dans Estber , ni qui frnppe |)lus vivement Tima ^nation, que celle-là. Rien de si touchant que de voir ce roi si sévère , si terrii)ie , qii, le moment d'auparavant, tenait un ian£^as:e si t ffi a\ ant, prendre
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etiam ad folum corpus referri debent, i5 quaeque, ut infrà fuo loco oftendetur", ab arda & in- tima mentis noftrae cum corpore unione proficifcun- tur : nempe appetitus famis, fitis, &c; itemque, com- motiones, five animi pathemata, quae non in folâ cogitatione confiftunt, ut commotio
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vitiofum & Papifticum » folemniter ejeraffe cenfendus eft. » {Epiflola apologetica, p. i3, ou Ul- tima patientia, p. 94-95.) Un peu plus bas se trouve la phrase : « Has » conditioncs, & nominatim claufulam falutarem articuli 11, cùm non » nemo. . . », reproduite ci-avant, p. ?3