ruer en vache


ruer en vache Definition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Sauter a la navigation Sauter a la recherche Sommaire 1 Français 1.1 Étymologie 1.2 Locution verbale 1.2.1 Traductions 1.3 Prononciation Françai
Annexe:Faux-amis en anglais


Les faux-amis en anglais ( false friends ) sont des mots de la langue anglaise qui, par leur forme, en rappellent d'autres dans la langue française mais s'en éloignent par le sens. Leur existence est rarement due au hasard, une étymologie commune ou des emprunts trans-Manche en sont
botter le train


pierreuse et lui botter le train . Ils le firent si méchamment qu'elle s’affola, se mit à hennir et ruer . — ( Henri Gougaud , Paramour , éditions du Seuil, 1998) Si tu as fini ma bouteille de whisky, je vais te botter le train , déclara Richard sans animosité. — ( Cate Tiernan
repetnar


vous pouvez l’ajouter en cliquant ici . Verbe [ modifier | modifier le wikicode ] repetnar Ruer , se regimber. Références [ modifier | modifier le wikicode ] François Raynouard , Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues
afkomen


afkomen \ Prononciation ? \ intransitif ou transitif S’avancer vers . Op iets afkomen . Se ruer sur quelque chose. Descendre . De trap afkomen . Descendre l’escalier. Taux de reconnaissance [ modifier le wikicode ] En 2013, ce mot était reconnu par [1] : 96,7 % des Flamands
ballottade


lorsque le cheval est au haut de son saut, il montre les fers de derrière comme s'il voulait ruer , sans pourtant détacher la ruade. — (Félix van der Meer, Connaissances complètes du cavalier, de l'écuyer et de l'homme de cheval , p.251, Lebègue & C ie à Bruxelles & Dumaine à
panader


modifier ] Étymologie [ modifier ] De l’ancien français penader passé du sens de « sauter, ruer » , à « voltiger (en parlant du cheval), marcher comme un cheval à la parade » puis « parader , se pavaner ». Verbe [ modifier ] panader \pa.na.de\ pronominal 1 er
Vandale


les invasions galliques descendre vers le midi et les légions romaines remonter; elle a vu se ruer le torrent des Burgondes, des Vandales , des Visigoths et passer les légers escadrons arabes; […]. — (Henry Gard, « Le Château d'Albon », dans la Revue du Lyonnais , tome 16,