Dictionnaire universel d’histoire et de géographie Bouillet Chassang/Quades


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Bouillet - Atlas universel d'histoire et géographie, 1865/Tables temps anciens


Av. J.-C. 5538. Création du monde, d'après la version des septante. (Elle eut lieu, suivant Usserius, s'appuyant du texte hébreu, reproduit par la Vulgate, en 4004 ; d'après l' Art de vérifier les dates av. J.-C , en 4963). 3296. Déluge universel. 3296-2122. Dispersion des hommes
Des Césars


DE TITE-LIVE, JUSQU’AU DIXIÈME CONSULAT DE CONSTANCE AUGUSTE, ET LE TROISIÈME DE JULIEN CÉSAR. I. Auguste. [ modifier ] Vers l’an sept cent vingt-deux de la fondation de la ville, on reprit, à Rome, l’usage d’obéir entièrement à un seul chef. Octavien, fils d’Octavius, et
Œuvres complètes de Frédéric Ozanam, 3e édition/Volume 04/Chapitre 2


ère, ils s’étaient avancés jusqu’au Danube, soumettant les Vandales, les Marcomans et les Quades , et réduisant l’empire à les traiter comme les nations qu’il craignait, c’est-à-dire à les prendre à son service. Ils avaient le titre et la solde d’alliés lorsque, l’empereur
Domination des peuples de la steppe


Niche, au fond de la Mésie Supérieure, la seule victoire de Claude. Déjà, sous la pression des Quades et des Mar-comans, les Vandales Astinges s'étaient établis dans la Pannonie et sur la lisière de la Dacie, poussant devant eux les tribus daces des Costoboques, des Bures et des Cotins
De Caesaribus


Vers l'an sept cent vingt-deux de la fondation de la ville, on reprit, à Rome, l'usage d'obéir entièrement à un seul chef. Octavien, fils d'Octavius, et adopté par César, son grand-oncle ; Octavien, qu'un sénatus-consulte surnomma bientôt Auguste, cause de sa clémence après la victoire
Les Pères de l’Église/Tome 1/Tableau historique du second siècle de l’Église


Nous avons vu dans le premier siècle les tyrans les plus odieux : Tibère, Caligula, Claude, Néron, Domitien, qu’il suffit de nommer pour rappeler tous les crimes ; et dans Rome « la stupidité d’un grand peuple à qui le vaincu, le vainqueur sont également indifférents, et qui
Eutrope - Livre VIII


L’an de Rome huit cent cinquante, sous le consulat de Vetus et de Valens, l’empire, si heureusement confié à de bons princes, revint à la situation la plus prospère. En effet, l’exécrable tyran Domitien eut pour successeur Nerva, homme plein de modération et de fermeté dans sa
Épitomé de Caesaribus


L’an sept cent vingt-deux de la fondation de la ville et quatre cent quatre-vingts de l’expulsion des rois, on reprit à Rome l’usage d’obéir entièrement à un seul chef; mais au lieu d’un roi ce fut un empereur, ou plutôt on l’appela du nom plus sacré d’auguste. Ainsi Octavien
Arles et le tyran Constantin, une page de l’histoire de nos pères/01


Ce n’est point à Rome qu’il faut aller méditer sur la destinée des empires. La ville éternelle ne sait point mourir. À la Rome de Mars a succédé la Rome de saint Pierre, à la cité des consuls et des empereurs celle des papes, au siècle d’Auguste et des Antonins celui de Léon