Souvenirs d’un demi-siècle/Tome 2/2


Le même jour, j’avais vu Maurice Richard, qui revenait de Metz, où il avait été envoyé par le défunt ministère pour établir avec l’État-Major ou avec le cabinet militaire de l’Empereur un service de dépêches régulier, afin de calmer les impatiences et de satisfaire la curiosit
Le Péril bleu/II/II


Il rayonnait. L’aéroplane en construction lui donnait les plus beaux espoirs ; l’appareil capteur d’électricité atmosphérique était une merveille. - De Tiburce il n’avait aucune nouvelle, non. - Mais comment se faisait-il que M. Le Tellier fût Parisien ? - Une tache ?
Le Péril bleu/II/X


haut. Dans l’air calme ils approchaient en trombe, silencieusement. L’aéroplane, muni de son capteur électrique, ne faisait pas le bacchanal ordinaire. On voyait les deux hélices tournoyer, semblables à deux soleils nébuleux… et l’on écouta leur double vrombissement de sirènes
Douze ans de séjour dans la Haute-Éthiopie/Tome I/Chapitre X


Je me mis en route de grand matin, et j’atteignis le soir même le camp du Dedjazmatch. L’hiver allait finir ; le sol boueux et les ondées fréquentes, notre équipement inapproprié, le nombre insuffisant de mes gens, leur inexpérience et aussi la mienne, tout concourait à aggraver
Droit de visite


Au moment où les chambres vont s’occuper de nouveau, selon toute apparence, du droit de visite, il ne sera pas sans utilité de retracer ici les évènemens auxquels a donné lieu cette question, ceux surtout qui remontent aux temps de l’empire, déjà éloignés de nous. Ce récit, trop
Souvenirs des côtes d'Afrique


Le 25 novembre 1828, après plusieurs jours d’attente à la barre du Sénégal, je partis pour Gorée, bord de la goélette "l’Heléna". Mon dessein était d’aller essayer de m’établir pour commercer sur quelque point de la côte. De Gorée je me rendis à Saint-Mary Bathiurst; là
Souvenirs des côtes d'Afrique (second fragment)


C’est avec quelque répugnance que je m’occupe de ce pays ; d’abord parce que je n’y ai résidé que depuis le 25 janvier jusqu’au 7 février 1829, temps trop court pour l’étudier suffisamment, et ensuite à cause d’une petite aventure qui m’humilia beaucoup dans le moment
Convention de Bruxelles (1890)


Le Président de la République française ; Sa Majesté l'Empereur d'Allemagne, Roi de Prusse, au nom de l'Empire Allemand ; Sa Majesté l'Empereur d'Autriche, Roi de Bohême etc., et Roi apostolique de Hongrie ; Sa Majesté le Roi des Belges ; Sa Majesté le Roi de Danemark ; Sa Majest
Le Péril bleu/II/III


atelier, venaient de « sortir » un merveilleux monoplan, un aéroplane-éclair, nanti d’un capteur d’électricité atmosphérique et d’un stabilisateur ingénieux au possible ; et, simultanément, l’escadre aérienne de l’État s’était enrichie d’un nouveau croiseur
La Question des sucres en Angleterre et la traite au Brésil


Parmi les questions qui pouvaient embarrasser le cabinet de lord John Russell, il n’en était pas de plus grave, de plus difficile que ce qu’on appelle la question des sucres . Sans l’adroite tactique de sir R. Peel, c’est sur cette question que le sort de son ministère aurait ét