Salman ben Yerouḥam


Selon des sources karaïtes [ 2 ] , il se rend encore jeune en Égypte , alors centre mondial du karaïsme , où il étudie auprès de Moshe ben Abraham Alfassi HaMedaqdeq (le Grammairien). L'introduction à la parashat Yitro qu'il lit à l'occasion de son hatan Torah devant l'assemblée
Aaron de Jérusalem


parle Abu Al-Walid , comprenant également la raison de son anonymat. L'appartenance d'Aaron au karaïsme n'apparaît en effet de façon explicite que furtivement chez Moïse ibn Ezra, qui mentionne le « Sheikh Abu al-Faraj de Jérusalem qui n'est pas membre de notre communauté religieuse
Aaron ben Meïr


Son nom est principalement associé à la lutte contre l'influence du karaïsme en terre d'Israël et, surtout, à la controverse autour de la fixation du calendrier hébraïque à la suite de ses innovations en la matière. Sommaire 1 Éléments de biographie 2 La controverse du calendrier
Princes karaïtes


galouta ) karaïtes sont les descendants de l'hérésiarque Anan ben David , fondateur supposé du karaïsme . Ils assurèrent, au moins nominalement, l'autorité temporelle sur les Karaïtes. Selon la version communément admise de la naissance du karaïsme au VIII e siècle , l' exilarque
Sefer Hamitzvot


HaMitzvot recensé est celui d' Anan ben David , le fondateur, ou tout au moins chef de file, du karaïsme au VIII e siècle . Le karaïsme se fondant sur l'exégèse personnelle et le rejet de toute autorité absolue en la matière, de nombreux hakhamim karaïtes rédigèrent leur Sefer
Kalam juif


sont appelés par Moïse Maïmonide et d'autres penseurs juifs. Apparu concomitamment avec le karaïsme , il fut adopté avec enthousiasme par ceux-ci, et demeura leur doctrine majeure tout au long de leur histoire. Toutefois, l'adepte le plus célèbre et le plus sophistiqué du kalam juif