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La chambre des pairs est tout occupée, depuis huit jours, du projet de loi sur les fortifications de Paris. La presse quotidienne a assez fait connaître et les noms des nombreux orateurs qui se sont succédés à lé tribune, et la valeur relative de leurs discours. Nous n’y reviendrons

Le ministère whig a terminé sa vie politique par une défaite éclatante au sein du parlement. On ne conçoit pas que des hommes de sens et d’expérience aient pu de gaieté de cœur tenter une épreuve dont l’issue, qui n’était douteuse pour personne, était déplorable pour eux-même

La session est ouverte. La royauté est venue l'ouvrir avec un cortège d'officiers et de soldats qui ressemblait plus à celui qui accompagna le général Bonaparte lorsqu'il alla frapper de la poignée de son sabre à la porte de l'orangerie de Saint-Cloud, qu'à la suite du plus pacifique

1. — Liste des membres présents et excusés. 2. — Offre, pour l’exposition de la Commission du Vieux Paris, d’un travail de tapisserie à l’aiguille représentant le plan dit « Plan de la tapisserie ». 3. — Vœu relatif aux Amènes de Lutèce. 4. — Offre d’une photographie

Chronique de la quinzaine 1841 La bibliothèque libre. Chronique de la quinzaine Aller à : navigation , rechercher Chronique de la quinzaine , 1841 V. de Mars Revue des Deux Mondes Tome 25 31 décembre 1840 14 janvier 1841 31 janvier 1841 14 févrie

L’ouverture de la session a mis en évidence quelque chose d’inattendu et de singulier. On pouvait croire qu’appelées une dernière fois dans l’arène politique, les diverses fractions de la chambre des députés s’y seraient élancées avec empressement, avec ardeur, que l’opposition

La tentative des christinos a complètement échoué. Le parti modéré a manqué cette fois encore d’unité, de dévouement, d’énergie. Les généraux qui avaient pris la direction du mouvement cherchent leur salut dans l’exil, ou tombent sous le glaive des vainqueurs. Espartero voudra

Le ministère whig a terminé sa vie politique par une défaite éclatante au sein du parlement. On ne conçoit pas que des hommes de sens et d’expérience aient pu de gaieté de cœur tenter une épreuve dont l’issue, qui n’était douteuse pour personne, était déplorable pour eux-même

La France vient de célébrer le onzième anniversaire de la révolution de juillet. C’était un spectacle imposant que l’innombrable population de la capitale accourant sans tumulte, se pressant sans désordre, le long de ces lignes immenses où la fête brillait, il faut le dire, avec

Après un long, mémorable et singulier débat l’amendement Schneider vient d’être rejeté par une assez forte majorité : 236 boules noires contre 175 boules blanches. La différence serait plus que suffisante pour une question ordinaire ; nous l’aurions voulu plus forte encore dans