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revenus des Pyrénées ? FÉRIOUL. Deux mois, à peu près. Nous sommes rentrés vers la fin d’ août . PARIZOT. Le fait est que je trouve Madame Férioul un tantinet chiffonnée. Catégorie : Page corrigée
Le 15 aout à Laruns


Au milieu de cette coupe d’émeraude taillée dans les montagnes de Laruns, la son aigu du flageolet de buis prélude sur une note unique, extraordinairement prolongée — qui se continue, émise sans un essoufflement, jusqu’à devenir la seule chose que l’on entende, jusqu’à ne devenir
La Littérature ennemie de la famille/1


la don-juane, la demi-vierge, l’affranchie, la déchaînée, la grisette, la courtisane. En août 1916, une italienne, Madame Luisa Amici-Grossi, adressait à M. Brieux, de l’Académie française, une lettre qu’elle intitulait « L’École des mères » et dans laquelle elle disait
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oubliés. Tout cela est encore en moi comme au mois de juillet 1832 ! » Et cependant, le 22 août 1832, Balzac quittait les Carraud pour aller rejoindre à Aix la marquise de Castries. Marcel Bouteron. (À suivre.) Catégorie : Page corrigée
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ardoises en losange, De blés mûrs, de clochers, de mâts et de jardins. Le même soleil d’ août incendiait les seigles : Rien n’a changé, ni les toits gris, ni les prés verts, Hormis nous qu’avant l’heure ont blanchis les hivers, Trop jeunes autrefois pour mourir sous nos
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de voir au fond du crépuscule, Comme au fond d’un immense et brumeux ergastule, La lune d’ août ouvrir son œil ensanglanté ? Entre les fûts des pins qui rayaient son orbite Et semblaient les barreaux d’une herse subite Que l’on eût abaissée aux deux côtés du rail, Tandis
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[1864] 13 VIII. PARIS, SAMEDI 24... [1864] 14 IX. PARIS, 19 juin [1865] 15 X. PALISEUL, 1er AOUT [1865] 16 XI. LÉCLUSE, 7 SEPTEMBRE [1865] 17 XII. PARIS, 30 OCTOBRE [1865] 18 XIII. PARIS, SAMEDI, 30 MAI [1868] 19 XIV. PARIS [1868] 19 XV. PARIS, samedi [1868] ? 20 XVI. LÉCLUSE,
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Je n’ai que le temps de repartir… Je me grise de chaleur. C’est délicieux, la nuit d’ août… On a des frissons qui vous démangent… N’est-ce pas, madame Chalandrey ? Allons, ne restez pas toujours figée… dégelez-vous un peu, pour une fois, sapristi !… GRÂCE , (brusque